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1. Faire des économies
La première bonne raison pour acheter en seconde-main, et pas des moindres: parce que cela permet de faire des économies. En seconde-main on peut accéder à des pièces à moindres coût, et même faire de très bonnes affaires si la personne en face de vous souhaite vraiment se débarrasser d’une pièce qui vous intéresse.
Acheter des vêtements ou accessoires en seconde-main permet également d’avoir accès à des marques inaccessibles pour les plus petites bourses, et sans devoir attendre les soldes où forcément votre taille sera en rupture de stock. Avec la seconde-main, les économies c’est toute l’année, alors pourquoi hésiter?
2. Réduire l’impact environnemental d’un vêtement
Acheter en seconde-main permet d’étendre la durée de vie d’un vêtement de plusieurs semaines / mois / années – le plus longtemps, le mieux évidemment. Or, d’après une étude publiée par WRAP, étendre la durée de vie d’un vêtement de seulement 9 mois permet de réduire les émissions de carbone, l’eau et les déchets textiles de 20 à 30%.
Comment? Car on économise les ressources mobilisées pour produire du neuf. Et quand on sait qu’il faut environ 2700L d’eau pour produire un tee shirt en coton, qu’il est ensuite teint à l’aide de produits chimiques, potentiellement toxiques, et parfois malheureusement rejetés dans la nature, ce n’est pas négligeable.
3. Réduire les déchets textiles
D’après une étude menée par ThredUp, le géant américain de la revente en ligne, 1 américain sur 2 jette les vêtements dont ils veulent se débarrasser directement à la poubelle (merci Marie Kondo). Le résultat, c’est que 64% des 32 milliards de vêtements produits chaque année finissent en décharge.
Or, si vous avez regardé The True Cost, vous avez vu les problèmes que cela cause: comme la plupart des vêtements ne sont pas biodégradables – à cause des fibres synthétiques entrant dans leur composition – ils mettront plus de 200 ans à se dégrader, en dégageant des gaz toxiques. Sympa pour la planète.
4. Trouver des pièces uniques
Lorsque l’on achète de seconde-main, on est loin de l’offre de masse de la fast-fashion, et c’est tant mieux. Cela permet de trouver des pièces uniques, ce qui est d’autant plus vrai si on shoppe du vintage. Et comme la mode est un éternel recommencement, on peut tout à fait être tendance avec un blazer chiné, tout en étant sûr de ne croiser personne avec le même modèle – angoisse de toute Zara addict assuré.
5. … Mais aussi de bons basiques
Friperies, sites de vente en ligne, dépôts-vente, applis entre particuliers… L’offre de seconde-main est aujourd’hui si vaste qu’il est possible de trouver absolument de tout, y compris de bons basiques: jeans, pantalon noir cigarette, blouses blanches, boots noires. Et parfois jamais portés! On peut vraiment se construire un vrai dressing 100% seconde-main.
6. Jouer avec son style à moindre coût (pour vous et la planète)
Si vous êtes accro au shopping ou aux tendances, la seconde-main devrait être votre terrain de jeu de prédilection. Rien de tel pour renouveler sa garde-robe plus souvent tout en limitant votre impact écologique.
7. Un acte militant pour lutter contre la surconsommation
Acheter des vêtements en seconde-main, c’est choisir un autre modèle que la production de masse. C’est voter avec son porte-monnaie.
C’est s’inscrire dans le mouvement de la slow-fashion. « C’est un mode de consommation qui s’oppose à la fast-fashion, ce modèle d’approvisionnement ultra -rapide de produits de basse qualité aux impacts environnementaux et humains désastreux », explique Patrick Veillard, chargé de recherche et campagne pour Oxfam Magasins du Monde.
8. Supporter l’économie locale et les petits magasins
Shopper en friperie ou enseigne de seconde-main, c’est supporter l’économie locale. Nombre de ces adresses sont de petits magasins de centre-ville, de ceux qu’on adore visiter et chez qui on retrouve un vrai contact humain. On est loin de l’empire Zara et des milliers d’enseignes à travers le monde.
9. Faire vivre l’économie sociale et solidaire
Si vous vous tournez vers des associations telle que Emmaüs, le Relai ou Oxfam vos achats de seconde-main permettront de supporter et créer des emplois pour des personnes en situation de réinsertion. Et les recettes des magasins d’économie sociale permettent le financement de divers projets de solidarité.
10. Pour se faire plaisir avec bonne conscience
Car le plaisir de faire rentrer une nouvelle pièce dans notre dressing est aussi grand – voir plus qu’avec du neuf – pour toutes les raisons citées au dessus!
unevieplusgreen.com/10-bonnes-raisons-dacheter-des-vetements-en-seconde-main/
La mode au détriment de la planète et des hommes
Les constats du rapport « La mode sans dessus dessous » de l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie) sur l’impact de la mode, de l’industrie textile, sur l’environnement sont explicites :
l’industrie textile est le troisième secteur le plus consommateur d’eau dans le monde après la culture du blé et du riz. La production de textile utilise 4% de l’eau potable disponible dans le monde.
1,2 milliard de tonnes de gaz à effet de serre sont émis chaque année par le secteur du textile, ce qui représente jusqu’à 10 % des émissions de gaz à effet de serre mondiaux.
L’impact de la mode jetable : un désastre socio-environnemental
Traditionnellement, l’industrie de la mode produisait deux collections par an : la collection estivale et la collection hivernale. Cependant, depuis le début des années 2000, la mode rapide et jetable est en plein essor. A l’heure actuelle, environ 130 milliards de vêtement sont consommés par an. Leur production a doublé entre 2000 et 2014 !
La mode dite rapide ou jetable, communément appelée « fast-fashion » correspond au renouvellement des collections de manière intensive et massive. Ainsi, toutes les semaines, de nouvelles collections sont proposées en magasins à prix toujours plus bas. La dimension économique prime au détriment des aspects écologiques et sociaux. La mode jetable répond autant qu’elle alimente une demande des consommateurs qui en veulent plus et à un moindre coût. Avec une qualité moindre des vêtements produits et des tendances toujours plus éphémères, le phénomène de surconsommation s’en trouve amplifié.
Cette production et surconsommation de masse sont à l’origine du désastre socio-environnemental de l’industrie textile.
1 décembre 2021
Du son bio de la Beaume, merci Christophe, pour les poules :
Faire une pâtée de son gourmande, riche et antiparasitaire :
Faire une infusion de thym
verser l'infusion chaude sur le son, si vous avez du pain dur c'est le moment de le mettre aussi à ramollir, ajouter des coquilles d'huîtres broyées, de l'ortie séchée ( ça booste la ponte et c'est un excellent vermifuge)
Mélanger le tout, laisser tiédir et c'est prêt!
Vous pouvez aussi rajouter vos restes de repas, des fruits, etc...
Ma mamie disait "les poules pondent avec leurs becs !"
1 avril 2021
Pour satisfaire la demande de nombreux adhérents nous ouvrons un grand rayon de jambon cuit
à l' Épicerie au Buffet de la gare de Veynes.
Plus de 150 références pour les amateurs de bon jambon. Vous retrouverez bien sur les jambons de vos producteurs habituels, la ferme du Lauzon et la ferme du Chevalet mais aussi les délicieux jambons de la marque renommée Herta, ceux très connus de Fleury Michon, sans oublier le Tradilège, le bon Paris et le Monique Ranu...
Emballés sous vide, par 2, 4 6 ou même 8 tranches, en prix promo ou en supérieur, vous trouverez toutes ces marques à l'Epicerie le samedi 3 avril.
En effet dès ce jeudi, les bénévoles travaillerons avec les techniciens d'Auchan pour la mise en place du linéaire de pas moins de 12 m de long pour votre plus grand plaisir, cela demande beaucoup de travail et de savoir faire.
Le samedi 3 avril à 14h, nous vous attendons nombreux et nombreuses à l'Épicerie pour inaugurer ce nouveau rayon.
Et pourtant cette photo ci dessous n'est pas une photo de science fiction, elle est juste prise dans un de ces hyper marchés que nous fréquentons en grande majorité pour notre alimentation quotidienne, participant ainsi à la destruction d'emplois, de notre santé, de la biodiversité qui nous entoure mais également mondiale.
Au Buffet de la gare, nous avons fait le choix opposé, ainsi chaque produit est choisi soigneusement, chaque producteur est rencontré, les prix ne sont pas imposés loin de là nous sommes toujours dans un rapport du juste prix celui qui permet à nos fournisseurs de vivre décemment.
Ce sont des choix , des choix assumés et vous êtes nombreux et nombreuses à nous suivre dans cette démarche éthique et respectueuse, une goutte d'eau peut-être ! Mais finalement ces gouttes d'eau sont nombreuses, il suffit juste qu'elles se rejoignent pour faire une rivière, un fleuve et changer le cours mortifère prédominant,
Ci-dessous vous retrouverez la démarche d'intégration des producteurs au Buffet et au Panier, bonne lecture et n'oubliez pas de rire !!!!
Août 2020
Extension Chrome et Firefox pour chercher un livre sur Amazon et l'acheter dans une vraie librairie.
L'extension récupère le numéro ISBN du livre que vous regardez et le cherche dans plusieurs bases de données de librairies indépendantes. Et ça marche!!!
Merci R.E.S.P.E.C.T.S. pour l'info
Envie croit en un modèle d’entreprise où le profit n’est pas la finalité du développement.
Parallèlement à l’insertion professionnelle, le réseau est précurseur d’une économie circulaire souvent évoquée, mais plus rarement mise en pratique : en réutilisant des appareils abandonnés par leurs propriétaires, ou en démantelant ces appareils pour en extraire des fractions de matières recyclables, Envie participe depuis plus de 30 ans à la limitation des déchets et contribue à faire changer les modes de consommation. Le travail d’Envie permet de remettre sur le marché des appareils rénovés et garantis à bas prix, permettant à chacun d’accéder à des équipements de la vie quotidienne.
Trois piliers forgent le réseau et assurent la cohérence des 50 entreprises françaises: l’insertion, la protection de l’environnement et le développement économique. Ces piliers constituent l’ADN d’Envie et sont le ciment du développement durable.
En savoir plus sur "ENVIE", trouver un magasin pas trop loin de chez vous?
Rare avancée à avoir été obtenue dans le cadre de la loi Alimentation, l’affichage obligatoire du pays d’origine pour le miel, réclamé par l’UFC-Que Choisir et l’Union nationale des apiculteurs (UNAF), a été retoqué par le Conseil Constitutionnel...
Qu’attendent les pouvoirs publics français pour faire de même alors que près de 90% des consommateurs pensent à tort consommer du miel français alors que 80% du miel est importé, principalement de Chine, d’Ukraine ou d’Argentine, et que les tests de l’association, mais aussi ceux de l’administration, ont souligné que bon nombre de ces miels étaient frelatés…
Le salut viendra-t-il d’un décret gouvernemental ? Il se dit que la DGCCRF travaillerait sur un décret rendant obligatoire cette traçabilité. Reste à en avoir l’assurance et surtout connaître la teneur de ce texte… Une véritable transparence exige l’apposition des pays d’origine en toute lettre (pour éviter les sigles confusants comme CH : Chine ? Suisse ?), et, en cas de miels mélangés, l’ordre d’importance, avec, comme l’envisage l’Espagne, les pourcentages d’incorporation. Avec l’UNAF, on entend bien obtenir ces avancées « dard-dard » !
Alain Bazot, président de UFC Que Choisir?
Court Circuit utilise beaucoup l'espace dit "drive" ou "cloud" pour plus de facilités dans le partage des outils (surtout des tableurs) utiles à son bon fonctionnement : carnet d'adresses des adhérents, calendrier et liste des référents et producteurs du panier, organisation des livraisons des agrumes, commandes en ligne et même l’hébergement du site Internet, tous ces outils en ligne comme vos mails d'ailleurs, vos photos mises à partager sur les réseaux sociaux ou sur google photos par exemple, quand vous visionner des vidéos, quand vous faites vos commandes en ligne, etc... font appel à ce que l'on nomme des data center, les énormes usines de l'ère numérique, indispensable et énergivores
Voici donc ci-dessous 2 liens, bonne lecture
Acheter bio et local, faire ses courses en vrac, fabriquer ses produits ménagers, s’engager dans une démarche de réduction de ses déchets, ça ne coûte pas plus cher. Au contraire...
« Franchement j’aimerais bien être écolo, mais quand tu vois le prix que ça coûte… » Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai entendu cette rengaine, prononcée par des ami.e.s ou sur les plateaux télé. Pourtant, cette croyance populaire tenace ne colle pas vraiment à ma propre expérience.
Depuis septembre 2016, avec ma compagne, nous nous sommes mis au « zéro déchet », un mode de vie prôné par la franco-états-unienne Béa Johnson, et qui implique de produire le moins de déchets possible. En même temps, nous nous sommes mis à acheter au maximum bio et local — pas étonnant, la démarche va souvent de pair. Nous aurions donc dû voir notre budget alimentation/produits ménagers exploser. Pourtant, à produits équivalents, nous avons plutôt eu l’impression de dépenser moins qu’avant. Mais parce que mon expérience ne vaut pas grand-chose sans comparaison, j’ai interrogé des experts pour savoir si mon intuition était bonne.
Pour savoir la suite en un clic c'est ici. (Site de Reporterre)
"Alléchées par la progression du marché des produits d’agriculture biologique, les grandes enseignes de distribution s’y engouffrent, avec leur logique de volume et de produits standardisés. Menaçant d’industrialiser la bio et d’en perdre les valeurs.
Ainsi, la bio est aujourd’hui confrontée au défi de garder son âme malgré ce changement d’échelle. « Sur le fond, le système de la grande distribution n’est pas satisfaisant, mais, aujourd’hui, on en a besoin, reconnaît Stéphanie Pageot, présidente de la Fédération nationale d’agriculture biologique (Fnab). Ils souhaitent aussi développer le bio. Donc, autant discuter pour tenter de rester maître de la situation. »
Pour rappeler sa vision de « la » bio, le syndicat a adopté une charte en avril dernier, indiquant que « l’agriculture biologique, au-delà des seules pratiques agrobiologiques contenues dans son cahier des charges, constitue un projet d’évolution profonde de l’organisation agroalimentaire actuelle pour créer, au sein d’un mouvement mondial, une économie relocalisable et solidaire. » Ces principes paraissent peu conciliables avec les pressions de la grande distribution pour faire baisser les prix, déjà décrites par Reporterre. « La grande distribution cherche du volume et des produits standardisés, donc elle est dans une logique d’industrialisation de la production alimentaire », note Lionel Labit, administrateur de Nature & Progrès, un des organismes fondateurs de la bio en France."
L'article complet dans Reporterre : 1 clic
Toujours dans Reporterre : Voici comment la grande distribution écrase l'agriculture en France
Court Circuit
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