Cultivée depuis au moins 5000 ans en Asie et en Afrique du Nord, elle s'habitue parfaitement au climat méditerranéen. Introduite au VIIIe siècle en Andalousie par les Arabes, la grenade constitua longtemps un aliment de base pour les voyageurs et les caravaniers d'Afrique du Nord, qui la privilégiaient à d'autres fruits frais pour son écorce solide qui permettait une meilleure conservation.
Au fil du temps, ce fruit a représenté des symboles au sein des différentes ethnies qui le consommaient. Souvent considéré comme le fruit des dieux, il était perçu comme symbole de fertilité et de prospérité.
La pleine saison pour déguster la grenade est au début de l'automne, aux mois de septembre, octobre et novembre.
Les calories et les infos nutritionnelles de la grenade
La grenade est un fruit peu calorique (62 kcal pour 100 g) comme la figue fraîche ou la mangue. Elle est modérée en sucre. Néanmoins, 100 g de grenade représentent 25 % des apports journaliers recommandés (AJR) en vitamines C et 10 % des AJR en vitamines B. Elle constitue un excellent aliment antioxydant qui permet de retarder, grâce aux acides organiques qu'elle contient, le développement des cellules cancéreuses. Cette quantité d'antioxydant est supérieure à celle présente dans le thé vert ou le vin rouge.
La grenade est aussi riche en minéraux comme le potassium qui est présent en grande quantité, et lutte contre les maladies cardiovasculaires en jouant un rôle d'hypotenseur.
Notons également que ce fruit contient un pourcentage de fibres et de cuivre non négligeable. La grenade a des effets anti-inflammatoires impressionnants : l’inflammation chronique est l’un des principaux moteurs de nombreuses maladies mortelles, parmi lesquelles les maladies cardiaques, le cancer, le diabète de type 2, la maladie d’Alzheimer et même l’obésité.
Des études en tubes d’essai ont montré que l’on peut réduire l’activité inflammatoire dans le tube digestif mais aussi dans les cellules du cancer du sein et du cancer du côlon. En médecine traditionnelle, la grenade constitue un excellent vermifuge et est utilisée pour soigner les toux persistantes, la fièvre, les coliques. Certains s'en servent même pour stimuler la libido.
La grenade grâce à sa peau épaisse se garde très bien, alors convaincu?
Le fruit exotique feijoa vient d’Amérique du Sud et a progressivement commencé à remplir les étagères des magasins et des marchés d’épicerie. Les baies sont souvent utilisées dans la préparation de plats culinaires; des mousses, des sauces et des garnitures pour desserts en sont faites. Souvent, ils décorent la table de fête. Le fruit est unique en ce que vous pouvez manger à la fois le fruit et la peau. Pour les salades, le fruit n’est pas délibérément nettoyé de la peau – il donne un goût inhabituel.
Le fruit rappelle beaucoup d’ananas, de pomme ou de fraise au goût.
En apparence, la baie est similaire au kiwi, mais elle est moitié moins grosse et sans poils. Les fruits mûrs ont un goût unique. Le Feijoa mûr à un goût très doux et sucré.
Le fruit contient de nombreux oligo-éléments, vitamines, antioxydants et minéraux utiles. Tout d’abord, il contient un pourcentage élevé d’iode, qui fait tellement défaut à une personne en automne et en hiver. Le fruit contient 35 à 40 mg d’iode pour 100 grammes de son poids, ainsi que des phénols et des pectines. Il est recommandé d’ajouter aux aliments aux personnes souffrant de maladies articulaires. Les avantages du feijoa se manifestent mieux sous forme fraîche, de sorte que la vitamine C est préservée.
Autres propriétés utiles :
aide aux maladies virales, renforce le système immunitaire;
utile pour la fonction intestinale en raison de la fibre dans la composition;
élimine les problèmes de thyroïde;
ralentit le développement de l’hypertension, de l’athérosclérose;
utile pour les maladies du système cardiovasculaire.
Mais attention les fruits contiennent un pourcentage élevé de fructose, de sucre. Avec l’obésité, la grossesse, la lactation, il n’est pas recommandé d’abuser du produit.
Oranges Navelines | Un «nombril » imposant et une peau lisse orangée. Un jus abondant et une chair sans pépin. Elles sont sucrées et peu acides | |
Oranges Tarocco |
Une peau de couleur orange, avec des nuances rouges grenat plus ou moins intense et une pulpe orangée bigarrée de rouge. C'est la plus cultivée, c’est la reine des oranges d’hiver ! Plus
riche en vitamine C que toutes les autres oranges, son écorce est d’un orange intense pigmenté de points rouges. Elle présente un « museau » caractéristique qui la distingue
de ses consœurs. Sa pulpe est blonde-rouge, sa texture et sa saveur sont… incomparables !
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Oranges Moro |
Fruits ronds et juteux, plus ou moins pigmentés de rouge et plus doux que les fruits de la variété Sanguine. L‘orange Moro (décembre- février) est plus petite et plus pigmentée. Sa pulpe est la plus riche en anthocyanes, elle peut se teinter d’un pourpre-violet très profond. Son acidité est un peu plus prononcée que celle de la Tarocco. |
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Oranges Sanguines |
La couleur de pulpe tend vers le rouge sang. La coloration progresse de façon centripète avec la maturation
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Oranges Valencia | Douces | |
Oranges Amères | Pour la confitures et le vin d'oranges | |
Mandarines Tsasuma |
Douce et généralement sans pépins de forme un peu bosselée
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Clémentines |
Classique normalement sans pépins
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Clémentines Tacle | Hybride de Tarocco et clémentine donc plus grosse et acidulée | |
Mandarines | Classique normalement avec des pépins | |
Clémentines tangeli-nova |
Un peu plus grosses que les clémentines, peau plus épaisse avec pépin |
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Clémentines tangeli-fortuna | Croisement Tangérine et Clémentines | |
Citrons |
Pour plein de bonnes choses : huîtres, tarte au citron meringuée, limoncello.
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Cédrats |
Genre de gros citron à l'écorce épaisse et rugueuse. Peu de place pour le jus. Excellent en fruits confits et confitures au parfum subtil
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Pamplemousses roses | Plus doux que le pamplemousse jaune |
On ne les connaît le plus
souvent en France que sous leur dénomination générique de «sanguines», sans nul respect pour leurs diverses variétés. Elles sont les sœurs mal-connues et mal-aimées des oranges blondes,
dont les variétés Navel et Valencia ont conquis le monde, grâce à leurs qualités « passe-partout ». Mais les Navel ne sont cultivées en Sicile que depuis les années 70, alors que leurs grandes
sœurs rouges le sont depuis plus d’un siècle..
Les oranges rouges sont les plus cultivées en Sicile.
Les oranges rouges représentent environ 70% de la
production totale d’oranges et sont principalement cultivées dans la plaine de Catane et ses alentours. Elles trouvent là un terroir et des conditions climatiques spécifiques, – dues à
l’Etna et à son activité volcanique millénaire – qui rendent leur goût et leur composition organoleptique uniques au monde. Les oranges rouges de cette zone bénéficient à ce
titre du label européen IGP « Arancia rossa di Sicilia ».
Trois variétés principales d’oranges rouges sont cultivées en Sicile : la Tarocco, la Moro et la Sanguinello.
Toutes trois doivent leur pigmentation plus ou moins prononcée à la présence, dans leur pulpe et leur écorce, d’anthocyanes. Ces pigments naturels, dont la coloration peut
s’étendre du rouge au bleu, se retrouvent, aussi et entre autres, dans les baies de sureau, les aubergines, les cerises et la peau de raisin . Au pied de l’Etna les oranges rouges trouvent des
conditions climatiques optimales pour leur maturation : chaleur et ensoleillement bien sûr, mais aussi écarts thermiques importants entre la nuit et le jour. Ce sont ces écarts thermiques
qui accumulent dans l’orange des anthocyanes, lesquelles ont des propriétés antioxydantes qui protègent le fruit… mais aussi notre santé.
La tangerine serait issue d'un croisement réalisé entre la mandarine et l'orange amère plus connue sous le nom de bigarade.
Les particularités de la tangerine
sont d'avoir :
une peau plus foncée tirant sur le rouge ;
un parfum très fort quoiqu'un goût peu prononcé.
Il existe de nombreuses variétés de
tangerine :
la dandy qui se pèle facilement ;
la poney qui est douce et sucrée ;
ou encore la kinnow qui possède beaucoup de pépins et un goût acidulé.
Le pamplemousse fut découvert en Jamaïque vers 1800, par les Hollandais. Ce fruit issu du croisement entre le citron et le “citrus grandis” d’Asie était alors inmangeable mais on lui soupçonnait déjà des vertus médicinales importantes. Mesurant entre 11 et 17 cm, il exige souvent beaucoup de sucre pour être consommé tel quel.
Le nom anglais “grapefruit” vient du fait que les pomelos poussent en grappe.
Le pomélos est le fruit que nous consommons habituellement.
Issu d’un croisement du véritable pamplemousse et d’une orange de Chine, il fut créé au XIXème siècle en Amérique. Légèrement plus petit que le pamplemousse (9-13 cm), sa pulpe est jaune et acidulée, ou rose et plus douce.
Il est également particulièrement riche en vitamine C, bêta-carotène et en potassium.
La maturité des agrumes:
Inutile d'attendre pour faire murir les
clémentines.
En effet les agrumes, contrairement aux pommes, poires, kiwis ne contiennent pas d'amidon. Ils sont cueillis à leur pleine maturité et n'ont besoin d'aucun délai d'affinage avant consommation (à l'inverse de l'avocat, du kiwi).
Et la couleur dans tout çà?
Ce sont les alternances répétées et suffisamment marquées de chaud diurne / froid nocturne qui dégrade la chlorophylle et révèle la couleur caractéristique de chaque espèce d'agrume, toute une palette de jaunes et d'oranges. A l'équateur aux températures très stables les agrumes restent vert foncé en toute saison et même à pleine maturité. Sous notre climat la coloration des agrumes s'initie en automne. En novembre elle elle est loin d'être homogène et la plupart des clémentines ont un « cul vert ». Qui ne signifie pas forcément qu'elles sont moins sucrées que des clémentines uniformément orangées. Fin décembre, on fait des randonnées raquettes sur la chaine de sommets à plus de 2000 m (si, si la Corse est essentiellement montagneuse), le froid est bien installé et toutes les clémentines sont oranges, de même que les oranges et les pomelos qui eux ne sont pas encore murs.
Mais on trouve aussi des citrons parfaitement jaunes, des clémentines uniformément oranges dans les magasins?
Cultivés en bio, ce seront sans doute des fruits stockés longuement en frigo en compagnie de palettes de pommes qui dégagent de l'éthylène, gaz qui accélère la dégradation de la chlorophylle. Pas de vert, ce qui n'améliore en rien le goût. Mais aussi moins de fraicheur. D'ailleurs les clémentines n'ont plus de feuille.
En agriculture conventionnelle la parade est chimique : Il existe un traitement de « déverdissage » en verger. Avantage: une belle présentation homogène garantie en quelques jours. Revers de la médaille: le traitement en lui-même, la baisse rapide de qualité gustative des fruits après le traitement, et, l'éventualité que les fruits soient ramassés avant la pleine maturité interne de la variété … sans que çà se voit à l'œil.
Merci à Robert pour nous avoir déniché ce texte
www.amap44.org/alimea-agrumes-de-corse/conservation-et-maturite-des-agrumes
Pourquoi les citrons ne sont-ils pas tous égaux ?!!!?
Le citron est un agrume qui a des caractéristiques spécifiques qui rendent nécessaire une récole échelonnée dans le temps : la fructification constante durant l’année et la
capacité qu’ont les fruits à persister longuement sur l‘arbre.
La fructification
constante dérive des différentes floraisons du cycle de la plante: la floraison printanière donnera le citron hivernal, le Primofiore, qui se récolte dès octobre-novembre
jusqu’en mars-avril; une floraison suivante entre juin et juillet portera le citron Bianchetto entre mai et juin de l’année suivante; la floraison d’été par contre
donnera l’été suivant le Verdello.
Ce CYCLE NATUREL – de toute façon diffère d’une zone à l’autre et aussi selon les variétés – comporte en certaines périodes la présence simultanée sur les plantes de fruits jaunes plus murs, et d’autres fruits verts, aussi de tailles différentes.
A la différence des autres agrumes, les citrons peuvent mûrir même une fois détachés de l’arbre : leur jus est décidé et parfumé tant qu’ils sont verts alors qu’ils diminuent d’intensité petit à petit que le fruit mûrit.
Même LA BEAUTÉ EXTÉRIEURE change, surtout dans les phases où la période de persistance sur la plante atteint son maximum: le Primofiore, par exemple, se récolte dès octobre-novembre, encore vert avec un poids de 80/100 grammes et une belle quantité de jus, et on le trouve ensemble avec les tous derniers verdelli tardifs qui ont affronté la chaleur de l’été et la prolifération des pucerons et autres insectes.
Il mûrira pleinement en janvier-février et donc, entre avril et mai, avec une couleur jaune intense et de plus grande dimension, nous le récolterons tardivement avec les Bianchetti.
Pendant cette longue période passée sur la plante, le fruit est sujet à des blessures et à des petites cicatrices superficielles causées par les ADVERSITÉS ENVIRONNEMENTALES qui, même si elles peuvent altérer l’aspect extérieur du fruit, ne compromettent pas la bonté, ni en termes d’intensité de gout, parfum, consistance et qualité du jus.
Au cours de l’année, les plantes produisent aussi des floraisons sporadiques, car elles sont très sensibles à la température, aux apports hydriques et aux variations climatiques.
Ceci est la loi naturelle du citron:
Primmiciuri et Agustari (dis aussi Malsani ou Bastaddi) en automne-hiver.
Jancuzzi, Pizziferru et Virdeddi Majulini au printemps,
Virdeddi et Mammurini en été
VOILÀ POURQUOI LES CITRONS NE SONT PAS TOUS ÉGAUX.
Par Mario Cutuli et Cesare Melfa (avec la participation de Carmelo et Alberto)
Conseils pour la conservation :
Bien transporter :
Prévenir l'écrasement et les secousses en calant les achats.
La voiture n'est pas un lieu de stockage et peut malmener les fruits en quelques heures par trop de chaleur, gel... ou en quelques jours par confinement et alternances de températures, 2 causes de pourrissement.
A la maison :
Ne pas conserver les fruits en sac plastique, sinon risque de pourriture.
Le frigo n'est pas un passage obligé : stocker au froid consomme de l'électricité et un fruit froid sera moins savoureux.
Profiter de la cagette bois car c’est le matériau le plus + respirant : les fruits se conserveront mieux. Le nec plus ultra : les plateaux bois (moins profonds) empilables, ce qui permet de vérifier facilement et rapidement les fruits à manger en priorité. Récupérer cagettes et plateaux est facile : ils sont à usage unique (obligation légale) et les magasins qui paient pour le recyclage ou la destruction de leurs déchets les offrent en principe très volontiers.
Février le mois de la Tarocco
La production des oranges Tarocco est certainement la plus pratiquée par les associés-fondateurs du Consortium Le Galline Felici, puisque la zone de production du Consortium (la Sicile orientale, en particulier la zone des pentes de l'Etna) est le territoire par excellence de ce fruit si spécial (cf la note sur les propriétés des oranges rouges en bas de texte). Nous sommes amoureux de ces oranges, parce qu'elles sont les filles du volcan et elles ont une saveur intense et fruitée. En somme, elles sont un vrai produit typique.
L'arbre à Tarocco est très sensible.... sa saison est courte.
La tarocco est assurément la variété d’oranges que les membres fondateurs du
Consortium Le Galline Felici produisent en quantité la plus importante.
Et cela parce que leur zone de production (la Sicile orientale et en particulier la zone
sur les versants de l’Etna) est le territoire de prédilection de ce fruit si particulier.
L’orange tarocco est notre “produit typique” : l’expression de l’interaction avec les
conditions environnementales spécifiques des territoires situés sous le volcan.
Elle possède une exceptionnelle saveur intense et fruitée et des vertus uniques
pour la santé. * (voir note ci-dessous)
L’arbre du tarocco est très fragile… sa saison est courte, et à un certain moment, lorsque le fruit est d'un beau rouge et au maximum de sa maturité... il tombe par terre.
C’est notre objectif de remplacer une partie de nos plantations de tarocco par des variétés plus tardives, de sorte d’offrir ce fruit tant-apprécié jusqu'à la fin du printemps. Et cela nous est rendu possible grâce notamment à votre soutien à travers les co-productions.
*Note : Ce qui différencie l’orange sanguine de Sicile de celles cultivées ailleurs est l'influence du climat sur la concentration d’anthocyanes.
En effet, cultivée dans un environnement inadapté, cette variété développe peu de
couleur, voire pas de couleur du tout.
On retrouve les conditions qui favorisent la production d'anthocyanines par l’orange sanguine dans les climats secs, avec des différences de températures élevées entre le jour et la nuit pendant la période difficile de maturation du fruit.
Nos producteurs de Tarocco ont expérimenté un nombre incalculable de fois cette triste vision : une mer de magnifiques oranges à terre... Alors nous avons eu l'idée de créer le mois de la Tarocco, en Février, car c'est la période durant laquelle il faudrait récolter les fruits, quant ils parviennent au maximum de leur saveur. A ce moment là de l'année, les oranges Navelines ne seront pas disponibles.
Cette année est « une année de millésime très très bonne » , c'est à dire d'abondante production, donc pour nous producteurs, ce serait l'année pour nous refaire (financièrement) de l'an passé, désastreux à cause du mauvais temps.
Comme nous le disions, la Tarocco est une plante sensible... Cette année, à cause de la longue sécheresse, certaines régions où nous cultivions des oranges Tarocco, ont subi un stress hydrique et à cause de cela , le pourcentage de petites oranges sera assez élevé.
Pour obtenir un produit plus présentable , nous avons décidé d'éliminer de la sélection celles qui mesurent moins de 63mm, en augmentant le rebut pour le producteur, mais aussi la quantité totale récoltée.
Ce type de choix comporte une perte pour nos producteurs et pourrait ouvrir le chemin d'une dynamique où le serpent se mord la queue, dans le sens où, beaucoup
parmi nous devraient soit retravailler les vieilles plantations d'agrumes et dans ce cas il leur faudrait pour cela simplement pouvoir investir dans des soins importants pour les arbres existants soit replanter de jeunes arbres sachant qu'un nouvel agrumier demande, outre l'investissement de base de la plantation, plusieurs années de soins avant de pouvoir compter sur une récolte. Or, la précarité de trésorerie freine la restructuration de ces exploitations.
EDans le territoire littoral de l’Etna, dans les provinces de Catane et de Syracuse et
en partie dans la province d’Enna, les conditions idéales pour la culture de l’orange sanguine sont réunies : un terrain très fertile grâce à la présence du volcan et un climat sec avec d’importantes chutes de température entre le jour et la nuit pendant la période de maturation lorsque la neige arrive sur l’ETNA.
Les oranges soumises à un stress thermique produisent une quantité plus importante de substance protectrice nécessaire pour se défendre contre les conditions climatiques défavorables. Parmi ces substances on trouve en effet les anthocyanines, substances très puissantes.
Les oranges sanguines de Sicile sont également plus riches en vitamine C : le tarocco en contient bien 80-90 mg pour 100 g de produit, une quantité supérieure de 40% par rapport aux oranges blondes communes. La même chose vaut pour les autres substances antioxydantes présentes dans toutes les oranges mais on les trouve en plus forte concentration dans les oranges sanguines: *flavanoïdes (hespéridine et narirutine) et acides
hydroxycinnamiques (acide caféique, acide coumarique, acide férulique et acide sinapique).
*De récentes études ont démontré qu'elles protégeaient aussi les yeux : https://www.nature-sciences-sante.eu/oranges-degenerescence-maculaire-liee-age-dmla/
Mais nous parlerons encore de cela dans le courant de l'année,certains que nous sommes qu'en janvier et en février, les demandes de Tarocco atteindront les étoiles ! ! ! !
Les producteurs de Tarocco du Consortium Le Galline Felici
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